Jérôme 50
Virées dans l'parc
Formule 5 à 7 sur le toit du TVT
Une bière incluse
Limite de 50 personnes
Ouverture du site à 17 h, spectacle à 18 h
Il a fait ses premières armes dès 17 ans en tant que musicien de rue dans le Vieux-Québec de la saison touristique, partageant entre autres des jams impromptus puis éventuellement un duo avec Hubert Chiasson, dit Lenoir. En 2013, alors qu’il ne savait ni ce qu’était un EP ni un réalisateur, il a autoproduit un mini-album, qui lui a notamment permis d’accéder aux Francouvertes en 2014, puis au Festival en chanson de Petite-Vallée la même année, au Festival de la chanson de Tadoussac la suivante puis au Cabaret Festif! de la relève en 2016.
Dans les autres affaires pas pires à savoir, il y a que Jérôme a un intérêt senti pour le parler d’ici (qu’il a attisé en étudiant les sciences du langage à l’Université Laval – il aime à dire qu’il aime la locution « aimer à »), qu’il affectionne autant Angus & Julia Stone et Gros Mené que Rihanna, et que son réflexe photo-sternutatoire affecte entre autres son écriture : « Le soleil me fait souvent atchoumer, et étrangement, plusieurs de mes chansons parlent de cette bizarre chose qu’est la lumière ».
Puis maintenant c’est maintenant et Jérôme écrit des chansons encore tout le temps – quelques-unes sont en train d’être enregistrées, même, avec ses amis Simon Kearney, Nathan Vanheuverzwijn (Émile Bilodeau), Simon Lachance et Martin Plante (tous deux de Raton Lover) et les bons soins de Philippe Brault à la réalisation. Des chansons malbuzzantes et pas achalées, faites de poésie d’observation et de lumière, aux groove et au ton à la fois décomplexés, candides et frondeurs, qui se retrouveront sur son premier album.